Comme pour la musique, voici un article pour mon avis sur la création du mois. Que ce soit sur grand ou petit écran, que ce soit en film ou en série, neuf ou ancien, je vous partage ce que j’ai pu en penser. Toujours pas d’avis d’expert mais toujours le plaisir de la découverte et du bavardage avec vous.
J’ai récemment pris l’avion sur une longue distance. L’article sera forcément un peu spécial puis que je ne parlerai pas d’un mais de quatre films.
- Matrix Resurrections. Ce n’est pas peu dire que j’attendais l’occasion de voir cette suite à la trilogie des années 2000. Les bandes annonces étaient intrigantes alors je l’ai commencé avant même de décoller. Et… C’était bien. Mais j’ai eu l’impression que l’on a essayé de me faire avaler au forceps qu’il s’agissait d’une suite. Référence sur référence, le film n’est pas vraiment mauvais en soi mais il finit par être un étrange patchwork, bien trop riche en plus. Il faudrait sans doute que je le revois pour mieux le comprendre. Mais autant dire que l’envie m’en manque complètement. Un bon point cependant pour Keanu Reeves avec un canard en plastique jaune sur la tête, si vous aussi êtes développeur·se·s, vous devriez apprécier.
- Spiderman: No Way Home. Le goût pour les films du MCU m’a passé avec la fin du cycle des gemmes de l’infini mais Spiderman, c’est quand même l’araignée sympa du quartier. Et puis quand même, on me vantait l’arrivée du multivers. Au final, le film est aussi banal que les précédents avec Tom Holland. Et s’il n’arrive pas à la cheville d’Into The Spider-Verse sur ce thème là, l’interaction des trois super-héros est probablement ce que j’ai le plus apprécié au final. J’ai même été surpris d’être plus nostalgique que ce à quoi je m’attendais.
- Wonder Woman 1984. Dans les films de chez Smith en face, Wonder Woman est bien le seul auquel j’avais accroché à l’époque où j’étais encore abonné au cinéma. Alors pourquoi pas voir cette suite. Au final, elle s’avère franchement moyenne et je n’en retiendrai vraiment que Diana faisant découvrir les années 80 à Steve.
- Men in Black: International. Autre opus récent d’une franchise à succès, ce film met Chris Hemsworth et Tessa Thompson à l’affiche. Les anciens anciens MiB ne sont plus là, quasiment un reboot. Je ne dirai pas que ça a été rafraîchissant mais au moins, le film ne s’est pas engoncé dans un héritage trop lourd à porter. Le scénario n’est pas des plus originaux mais l’ensemble est assez bon pour aider à passer le temps dans le terminal de retour. Je vais en oublier les détails assez vite c’est certain. En restera une impression relativement correcte et c’est tout.
Et comme j’ai volé la nuit, j’ai aussi utilisé un film pour dormir. Cette fois-ci mon conseil se portera donc vers Interstellar. J’adore cette tentative désespérée de sauver le monde. Visuellement, le film est impeccable sur grand écran. En classe éco, on pourra sans doute en discuter mais ses longueurs et mollesses seront toujours aussi efficaces pour m’aider à dormir. Et puis que dire de la musique de Hans Zimmer ? Plus efficace qu’une coupe de champagne pour moi, un hit majeur pour m’apporter le sommeil.